Docsity
Docsity

Prépare tes examens
Prépare tes examens

Étudies grâce aux nombreuses ressources disponibles sur Docsity


Obtiens des points à télécharger
Obtiens des points à télécharger

Gagnz des points en aidant d'autres étudiants ou achete-les avec un plan Premium


Guides et conseils
Guides et conseils

Notes sur les principes de l'analyse du discours , Notes de Langages de programmation

Notes de science du langage sur les principes de l'analyse du discours. Les principaux thèmes abordés sont les suivants: Vue dégagée, Un petit pot pour les enfants, Pas d’armes, davantage de golf.

Typologie: Notes

2013/2014

Téléchargé le 11/02/2014

Thierry_E
Thierry_E 🇫🇷

4.6

(78)

515 documents

1 / 3

Documents connexés


Aperçu partiel du texte

Télécharge Notes sur les principes de l'analyse du discours et plus Notes au format PDF de Langages de programmation sur Docsity uniquement! FILETS ET ENQUÊTES DESCRIPTIFS 2A LE JOURNAL DE QUÉBEC / LE SAMEDI 7 OCTOBRE 2006 Dossier spécial VOTRE ARGENT LE LABORATOIRE DE WAL-MART Chic, même dans les toilettes Pour voir si elle est capable de conquérir le coeur et le portefeuille des Américains les plus nantis, Wal-Mart mène divers tests dans son nouveau laboratoire situé à Plano, au Texas. Le Journal Votre Argent l’a visité. Marie-Ève Fournier @journalmtl.com À peine arrivé dans le stationnement de ce magasin ouvert depuis six mois, on sait déjà qu’il n’est pas comme les autres. Ses deux tons de briques, beige et terra cotta, lui donnent une allure bien chic qui colle au style du quartier cossu, juste derrière. Et un chaleureux welcome remplace le banal entrance au-dessus des portes. Vue dégagée Mais c’est à l’intérieur que la vraie surprise se trouve. « De l’entrée, on peut voir tous les rayons. La vue est totalement dégagée », résume Nikki Bayne, superviseure de 10 Wal-Mart dans la région. Exit, en effet, les étalages qui montent presque jusqu’au plafond et les boîtes empilées sur le dessus des présentoirs. Le rayon des sports, tout au fond à gauche, est facilement repérable à l’horizon. Les planchers de quelques rayons sont couverts d’un matériau imitant le bois franc pour donner un peu de chaleur. L’odeur de gras du McDonald’s a été remplacée par celle du cappuccino provenant d’un chic petit café. Un petit pot pour les enfants Dans les salles de toilettes, dignes d’un aéroport moderne, la céramique couleur brique contraste avec les portes en acier inoxydable. Avis aux nouvelles mamans, l’une d’entre elles cache un petit pot pour les enfants qui apprennent à être propres. Du côté des produits d’épicerie, les produits frais profitent d’un éclairage tamisé. « Cela donne une plus belle apparence aux fruits et aux légumes », explique Mme Bayne. Et le logo « organic » (bio, en français) est très répandu. À proximité, les tablettes regorgent de produits fins. « On tient 90 sortes d’huile d’olive de plus que dans un Supercenter régulier », précise le cogérant Jeff Persichitte. La plus chère vaut 45 $ US. Pas d’armes, davantage de golf Certains articles, comme les tissus et les armes, ont été complètement écartés. D’autres ont eu droit à moins d’espace : articles de chasse et pêche, accessoires et pièces d’automobiles, tondeuses à gazon. « Dans le quartier, les gens ont les moyens de faire entretenir leur pelouse », souligne Mme Bayne. Dans le rayon des sports, on mise surtout sur le golf et le tennis. Partout, l’offre est adaptée aux nantis qui boudent Wal-mart au profit de Target, par exemple. (...) Le Monde 25 octobre 2002 LA PROBLÉMATIQUE NEUTRALISATION DES TÉLÉPHONES MOBILES Comment appliquer l’article 26 de la loi du 17 juillet 2001 qui permet aux exploitants de cinéma, directeurs de théâtre, propriétaires de cabarets ou autres salles de spectacle d’installer des « brouilleurs » de téléphone mobile ? Telle est la question délicate sur laquelle l’Autorité de Régulation des Télécommunications (ART), après une consultation publique, a émis le 26 septembre des propositions à la Commission Consultative des Radiocommunications (CCR). Tout en soulignant les difficultés créées par la loi, l’Autorité met en avant deux conditions d’application : le respect du confinement et celui des niveaux de référence que ne doivent pas dépasser les champs électromagnétiques quand le public y est exposé. Sur le plan technique, cela conduit à définir les types de systèmes de blocage qui peuvent être employés. Il existe en effet plusieurs catégories de brouilleurs, que l’on peut classer en deux grandes familles. D’abord ceux qui agissent par brouillage des fréquences d’émission des mobiles en créant un niveau d’interférence tel que le réseau et le mobile ne peuvent plus initier ou maintenir une communication. Ensuite, ceux qui, par filtrage, sont par exemple capables d’agir sur les mobiles pour les faire changer d’état (utilisation restreinte), différencier les canaux, en modifier le contenu et interdire in fine les communications, par renvoi des appels entrants sur les messageries des abonnés. Difficultés techniques Au sein même de ces deux groupes génériques existent différentes variantes. Ainsi distingue-t-on les brouilleurs simples (qui émettent en permanence un signal qui crée des interférences sur les fréquences allouées au mobile), des brouilleurs « intelligents », qui n’émettent un signal parasite que lorsqu’ils détectent un mobile sur le point de communiquer. En effet, un mobile appelé ne sonne pas immédiatement. La station de base lance d’abord une sorte d’appel général (paging) afin de localiser précisément (à la cellule près) le portable auquel est destinée une communication. C’est au moment où celui-ci signale sa présence en réponse au paging que le brouilleur le détecte et déclenche le signal qui inhibe sonnerie et communication. Les systèmes opérant par filtrage, plus complexes à développer, relèvent quant à eux encore de la théorie. Plus « intrusifs », puisqu’ils sont capables de différencier les canaux au sein du signal (canaux de signalisation, canaux de données...), ils ne sauraient être installés sans une implication technique des opérateurs, qui, bien sûr, s’y refusent. Les industriels estiment que ces systèmes, qui ont fait l’objet de différents brevets, ne pourront, de toute façon, techniquement voir le jour avant deux à cinq ans. Par contre, simples ou intelligents, les brouilleurs qui se contentent de créer un signal d’interférence sont déjà disponibles en France, où ils demeurent illégaux, étant en théorie réservés aux applications de sécurité (forces de l’ordre, renseignement) ou militaires. À l’étranger (Israël, Japon, Corée du Sud, Chine...), dans des boutiques spécialisées ou sur Internet, le chaland trouvera des engins de brouillage de faible puissance (quelques mW) relevant du gadget « james bondesque », malicieusement dissimulés dans un boîtier de téléphone mobile (Nokia, Siemens) ou carrément des valises de forte puissance ((300 watts et plus) capables de brouiller la zone de couverture complète d’une station de base GSM ou autre, les prix variant de moins de 100 € à plusieurs milliers d’€. Risque de prolifération On comprend pourquoi l’ART et les opérateurs sont inquiets devant le risque de prolifération de ces systèmes qui, manipulés par des personnes mal intentionnées ou tout simplement mal informées, pourraient se révéler dangereux. Si, comme le souhaitent les propriétaires de salles de spectacle, l’ART parvient à un consensus entre eux-mêmes et les opérateurs sur un ensemble de règles (type de produits, création d’une base de données les recensant, information du public, contrôle), tout ne sera pas réglé pour autant. Le débat fait rage sur la faisabilité d’un confinement efficace dans les salles de spectacle telles que définies dans la loi, à savoir les lieux où sont diffusées et reproduites des oeuvres de l’esprit. Or cette définition est très large. Un chapiteau monté temporairement entre-t-il dans le cadre retenu ? Nul ne peut le confirmer ou l’infirmer. Question d’interprétation. Quid des halls d’accueil, du bar de l’entracte ? Pour Hortense de Labriffe, déléguée générale d’Uniciné, cela va sans dire, « seule la salle,
Docsity logo


Copyright © 2024 Ladybird Srl - Via Leonardo da Vinci 16, 10126, Torino, Italy - VAT 10816460017 - All rights reserved