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La traduction et la lettre ou l'auberge du lontain résumé, Sintesi del corso di Lingua Francese

La traduction et la lettre ou l'auberge du lontain riassunto in lingua francese fino a pag. 70

Tipologia: Sintesi del corso

2017/2018

In vendita dal 23/02/2018

adelvecchioas
adelvecchioas 🇮🇹

4.3

(7)

17 documenti

Anteprima parziale del testo

Scarica La traduction et la lettre ou l'auberge du lontain résumé e più Sintesi del corso in PDF di Lingua Francese solo su Docsity! LA TRADUCTION E LA LETTRE OU L’AUBERGE DU LONTAIN Ce texte concerne la traduction dans ses méthodes sourciers et Berman, l’auteur, se met contre une traduction cibliste: on ne peut pas rendre le sens sans la lettre. L’auberge est l’accueil du loin, il est le lieu dans lequel l’accueille l’étranger dans le voyage vers la langue s’arrivée (c’est une signification évangélique de la traduction). Auberge du lointain a ses origines dans l’Amor de lonh de Rudel, un jeu entre la distance et la vicinance: les deux langues sont en distance intime, auberge est la vicinance et du lointain est la langue étranger, éloigné de la langue d’arrivée. Ce texte fait part du Séminaire au collège International de Philosophie en 1984. Il fait une critique aux théories traditionnelles qui affirment que traduire est seulement la restitution du sens. Il analyse les grandes traductions littérales qui refusent de server le sens. La traduction littérale comporte des équivoques: elle a été brouille avec celle parole pour parole, sans l’être. Par Exemple, les proverbes ne peuvent pas avoir une traduction parole pour parole, mais seulement un équivalent du sens. La traduction se trouve entre celle parole pour parole et le sens. Faire une traduction équivalente n’est pas come faire un moule (calco), mais c’est faire un reportage des mots qui ont la même intention avec une autre forme. On ne fait pas une traduction parole pour parole mais on remet la structure sous une autre forme. Les équivalents établent un sens invariable et ils refusent de faire de la langue d’arrivée l’auberge du lointain. Ils refusent aussi le binôme conceptuel théorie/pratique pour le remplacer avec le binôme réflexion/expérience* La traduction est pour première chose une réflexion, en suite elle déviant une expérience (implication, se faire emporter). XVI siècle: traduire est une sous-littérature XIX siècle: elle devient une sous-critique XX siècle: elle est considérée linguistique ou poétique appliquée. La traduction est sujet et objet d’un savoir propre. Elle n’a pas expérience au nivel de parole autonome (comme la littérature dans la Renaissance), mais tout son savoir est contenu dans la traductologie. La traductologie est l’expérience/le savoir de la traduction et elle parte de la propre expérience et non de la technique. *Ces concepts son fondamentaux pour la philosophie et ils sont venus de l’idéalisme allemande qui coïncide avec les grandes époques des traductions occidentales. Pour ce motif, l’acte de traduire a en soi la pensée philosophique: la traduction est pensée, ou bien, elle est portée par la pensée, la réflexion. Elle peut renoncer à la théorie, jamais à la pensée. La traductologie e la philosophie ont presque la même essence. Benjamin colloque la traductologie entre la poésie et la doctrine. Heidegger identifie l’interprétation et la traduction comme la même chose. La traductologie est la pensée de la traduction ; ce sont différentes réflexions sur la traduction à partir de deux domaines indirects de la philosophie: la traduction biblique e la psychanalyse. Berman interroge l’espace de la traduction à partir de l’expérience de la traduction littéraire et à partir de la philosophie. La traductologie a pour objectif servir d’intermédiaire entre les formes différentes de traductions. Il considère la traduction non seulement un passage d’une langue à une autre, mais aussi un ensemble de autres passages qui concernent l’expérience, qui fournit à son tour une possible traduction. D’ici Berman se rattache à l’espace de la littérature, où le lien entre la critique et la traduction est nécessaire pour écrire. La traduction est ni théorie ni pratique, elle est seulement expérience. En effet, la traductologie n’enseigne pas à traduire mais l’expérience qui y est derrière. (fino a pag.20). Parcours de Berman Traduction de la lettre comme un texte, parce que toujours la littéralité est condamnée (parole pour parole): les traductions cherchent la propre essence à partir de l’expérience. La traduction a trois essences: 1. Culturellement, elle est ethnocentrique (nivel de l’éthique); 2. Littéralement, elle est hypertexte (nivel poétique); 3. Philosophiquement, elle est platonique (nivel de la pensée). Les trois essences se définissent sur la base de la LETTRE (espace de jeu). Pour entrer dans la lettre, c’est nécessaire détruire la tradition des trois essences. Avant tout, on doit analyser ce qui on détruira à travers l’ANALYTIQUE DE LA TRADUCTION. Elle est une critique des trois essences de la traduction : elle les étudie dans leurs caractéristiques générales, ou bien, les formes concrètes dans lesquelles les essences se manifestent pendant une traduction (le point d’arrivée). L’analytique est aussi négative que positive parce que donne des réflexions sur la dimension éthique, poétique et de la pensée du traduire. La tradition est l’expérience historique du traduire, ou bien elle comprend toutes les traductions qui, dans l’histoire, ont manifesté la triple essence. Ces textes sont sources, non modèles. (fino a pag. 23). Traduction ethnocentrique et hypertexte La traduction ethnocentrique est nécessairement traduction hypertexte et vice versa, ils existent seulement ensemble. La T.E. est une traduction qui ramène tout à la culture d’arrivée, en considérant le divers comme étranger (connotation négative). Ella a pour objectif améliorer le texte original et rendre national ce qui est étranger (XVII-XVIII siècle, les belles infidèles). Réalité historique de la traduction: elle nait en Rome grâce à des auteurs qui écrivent en grecque et qui veulent traduire tout le corpus en latin. On parle du premier syncrétisme (mélange de doctrines et de systèmes). Pour la première fois, Cicerone et Orace, qui traduisent des textes de le grecque au latin, en suite en 300/400 Saint Girolamo concrétise les principes païens avec la traduction de la Bible, indiquant la traduction comme annexion du sens. Mais chez Saint Paul et la pensée platonique, en 60/70, on a déjà un dialogue concernant l’opposition entre le sensible (le corp) et l’intelligible (l’âme), qui devient l’opposition entre la lettre (le corps, ce qui tue) et l’esprit (ce qui revitalise). La traduction hébraïque méprit la traduction. Le Christianisme, au contraire, l’adopte pour arriver à tous les fidèles. L’impulsion à traduire nait pourque tout le monde pourrait comprendre la parole de Dieu. Dans ce moment, la traduction est une translation du sens, un élément invariable qui passe d’une langue à une autre. La traduction est, donc, une démonstration d’unité linguistique. La capture platonique du sens est un détachement de la lettre (corp), en considérant l’élément universel et non particulier (fidélité au sens). La fidélité à la lettre lui s’oppose: elles ne peuvent pas vivre ensemble puisque la fidélité au sens est une traitrise à la lettre étrangère. La capture platonique du sens est fidélité à la propre lettre, en affirmant la primauté d’une langue. Le sens de l’œuvre se doit soumettre à la langue d’arrivée. La capture enferme le sens dans une autre langue, définie comme absolue, idéale et rationnelle (essence ethnocentrique de la traduction). La T.E. a deux principes: 1. On doit traduire de manière que on ne le ressentait pas, la traduction doit paraitre ce que l’auteur écrirait dans sa propre langue. Chaque trace de la langue de départ doit disparaitre. 2. Conséquence du premier principe: le texte d’arrivée doit offrir ce que l’auteur écrirait dans cette langue; si l’autre a utilisé des termes simples, la traduction les doit avoir pour produire le même effet. Ces deux principes font de la traduction une opération où la littérature intervient. Au fin qu’une traduction ne semple pas une traduction, il est nécessaire utiliser des procédures littéraires. En ce moment la traduction Pour faire une bonne traduction et pour éviter de faire des erreurs, il est nécessaire partir de la définition de l’objectif de la traduction. L’analytique est positive parce qu’elle implique un espace de traduction bien défini et un objectif bien défini. Ceci n’est pas un procédé légitime, mai Berman le suppose. Ainsi, la traduction n’est pas un processus de communication (un message d’une langue-source à une langue- objectif), parce que cela dépendrait d’une méthodologie. Elle n’est pas aussi un texte technique qui vise à transmettre des information objectives. La traduction n’a pas une méthodologie parce que vise à transmettre une expérience. On doit différencier le domaine : le texte n’est jamais un message et vice versa. La traduction d’une œuvre exige un caractère systématique, qui est diffèrent de la méthodologie, dans laquelle les principes dépendent de l’objectif. Objection : traduire ne communique pas une œuvre lointaine? Traduire n’est pas une introduction d’une œuvre dans une autre culture? Dans ce point de vue, l’arrivée est le publique et donc on répond à deux lois du processus de la communication: 1. Plus on propage un message, plus son contenu se rétrécit. 2. Entre la communication de quelque chose et la communication à quelqu’un, la deuxième prévaudra toujours (on dit tout à tout le monde mais en manière vague tant que le message se dissout dans le néant). La communication qui vise au accès facilité à une œuvre est toujours manipulation. En ce cas on a l’écrivain qui écrit pour le publique et le divulgateur scientifique. Dans le premier cas, l’écrivain trahira toujours le texte original en faveur du publique, qui sera trahi en ayant un travail réparé. On sera toujours à la croisée des chemins : préférer la langue d’arrivée ou celle de départ. On doit penser à la visibilité d’un texte et on arrive au deuxième cas, ou bien celui qui traduise un langage spécialisé en langage commun. Même il ne mettra pas en place une transmission du savoir parce que le vulgarisateur pense à la communication, mais la vulgarisation est non-communication. La popularisation est différente : elle cherche une transmission qui répond à la nature de la langue et à la possibilité de compréhension de celui qui n’est pas spécialisé. Elle est une réflexion qui manque totalement à la vulgarisation. Donc, l’objectif de la traduction n’est pas simple communication parce que on traduit pour celui qui comprend l’original. Quel est l’objectif de la traduction? Il est triple: éthique, poétique et philosophique (dans le rapport de la traduction avec la vérité). L’éthique concerne les valeurs de la fidélité et de la précision que le traducteur possède, elles sont des passions éthiques (ni littéraires ni esthétiques). Toutes les deux renvoient à la conduite de l’homme en face du monde, et donc en face du texte. L’acte éthique consiste à reconnaitre l’autre comme un autre. Il est présente dans la sagesse grecque pour laquelle l’homme rencontre le divin sous la forme de l’étranger et il l’accueille. Il est un acte facultatif, un choix qui supporte la culture. L’acte du traduire ne respecte pas une méthodologie, mais il respecte une propre éthique. On a le désir d’ouvrir à l’étranger les portes de la propre langue. C’est ici que traduire signifie communiquer. Dans le domaine des œuvres, la traduction est la manifestation s’une manifestation. Pourquoi? Parce que dans un œuvre le monde est manifesté dans sa totalité et la traduction, à son tour, est un manifeste de l’original. L’objectif éthique, poétique et philosophique se trouve dans la manifestation de la nouveauté dans la langue d’arrivée en cherchant de la préserver. Il s’applique à la lettre et sa forme est la fidélité. Dans le traduire on doit être fidèle au sens: quelque fois il n’est pas possible être fidèle à l’esprit. Dans l’introduction au premier livre de Rimes d’amour” de Ovide, Fontaine dit qu’une bonne traduction doit être fidèle au vêtements (termes), au corps (sens) et à l’âme. Plus tard, il sera enclin au sens et à l’âme en annonçant les Belles Infidèles. Donc, il accueillera la littéralité charmeuse du texte jusqu’à Goethe. Hölderlin ou la traduction comme manifestation les traductions allemandes des premières années du XIX siècle respectent le principe pour lequel le texte traduit doit apparaitre étranger sans produire un effet d’étrangeté. Ils sont les limites de Humboldt : on traduit fidèlement sans rendre les obscénités verbales. Hölderlin a traduit Saffo et il a forcé les limites de Humboldt. La grâce de Saffo est difficile à traduire parce qu’elle est complétement contextualisée dans l’ancienne Grèce.
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