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Informacje i wskazówki
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Tesina finale francese - praca napisana w języku francuskim, Notatki z Prawoznawstwo

Communication Interculturelle et Variation de la Langue Française – Tesina

Typologia: Notatki

2019/2020

Załadowany 10.06.2020

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Communication Interculturelle et Variation de la Langue Française Tesina
La présente dissertation concerne l’analyse d’un avis sur un projet d’arrêté relatif
au tableau national de répartition des bandes de fréquences émit dans le Journal
Officiel de la République française le 29 novembre 2018.
Ce genre de document est caractérisé par l’usage de la langue spécialisée et en
particulier du langage de la loi. D'ailleurs, dans la suite de cette dissertation, pour la
simplicité, il sera utilisé non seulement le terme complet la « langue spécialisée »,
mais aussi l’abréviation « LS ».
L’un de plus grands problèmes pour ceux qui travaillent avec ce genre de document
peut être son rapport entre la langue spécialisée et la langue commune (dans la suite
de dissertation aussi « LC »). Le fait est qu’il y aura toujours ce rapport entre eux
parce que, dans une large mesure, la LS est un sous-ensemble de la LC, utilisant ses
variantes lexicales au niveau du discours juridique. Cela signifie que la LS qui reste
toujours dans les limites de la fausse transparence pour ceux qui n'ont pas de
connaissances spécialisées sur un sujet donné.
Sur cette base, on peut conclure que le fondement de ces deux variantes coexistent
dans ce qu'on appelle la « le continuum ». Cela signifie qu’elles ne peuvent pas
exister indépendamment l'une de l'autre. L’effet de ceci sont les notions comme les «
termes à appartenance exclusive » et les « termes à double appartenance ».
Les premiers, dans le domaine juridique, n’ont pas de sens qu’au regard du droit. Ils
sont alors directement liés à l’idée la polysémie interne, c’est-à-dire les termes ayant
des significations multiples à l'intérieur du seul discours juridique, qui est plutôt un
phénomène dangereux dans ce contexte. L’exemple de ceci peut être le mot « décret »
(ligne 36). Il a plusieurs définitions - selon le dictionnaire Larousse, c’est un acte
réglementaire ou individuel pris par le président de la République, ou bien c’est une
décision de l'autorité ecclésiastique en matière administrative, législative et judiciaire
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Communication Interculturelle et Variation de la Langue Française – Tesina

La présente dissertation concerne l’analyse d’un avis sur un projet d’arrêté relatif au tableau national de répartition des bandes de fréquences émit dans le Journal Officiel de la République française le 29 novembre 2018.

Ce genre de document est caractérisé par l’usage de la langue spécialisée et en particulier du langage de la loi. D'ailleurs, dans la suite de cette dissertation, pour la simplicité, il sera utilisé non seulement le terme complet la « langue spécialisée », mais aussi l’abréviation « LS ».

L’un de plus grands problèmes pour ceux qui travaillent avec ce genre de document peut être son rapport entre la langue spécialisée et la langue commune (dans la suite de dissertation aussi « LC »). Le fait est qu’il y aura toujours ce rapport entre eux parce que, dans une large mesure, la LS est un sous-ensemble de la LC, utilisant ses variantes lexicales au niveau du discours juridique. Cela signifie que la LS qui reste toujours dans les limites de la fausse transparence pour ceux qui n'ont pas de connaissances spécialisées sur un sujet donné.

Sur cette base, on peut conclure que le fondement de ces deux variantes coexistent dans ce qu'on appelle la « le continuum ». Cela signifie qu’elles ne peuvent pas exister indépendamment l'une de l'autre. L’effet de ceci sont les notions comme les « termes à appartenance exclusive » et les « termes à double appartenance ».

Les premiers, dans le domaine juridique, n’ont pas de sens qu’au regard du droit. Ils sont alors directement liés à l’idée la polysémie interne, c’est-à-dire les termes ayant des significations multiples à l'intérieur du seul discours juridique, qui est plutôt un phénomène dangereux dans ce contexte. L’exemple de ceci peut être le mot « décret » (ligne 36). Il a plusieurs définitions - selon le dictionnaire Larousse, c’est un acte réglementaire ou individuel pris par le président de la République, ou bien c’est une décision de l'autorité ecclésiastique en matière administrative, législative et judiciaire

ou c’est une décision de l'autorité ecclésiastique en matière administrative, législative et judiciaire. Si on examine d'autres définitions de ce terme, on notera que leur champ d'application ne va pas au-delà de la loi. Le résultat est qu’il n’a aucun équivalent dans la LC.

En ce qui concerne les « termes à double appartenance », leur existence rend la situation est un peu plus compliqué parce qu’ils provoquent le phénomène de la polysémie externe. Premièrement, en cette matière, on peut distinguer la notion de l’appartenance juridique principale qui correspond au concept d’avoir sa signification principale dans la LJ et la signification secondaire dans la LC ou une autre LS. Un exemple de celle-ci est le mot « code » (ligne 6). Selon le dictionnaire, la signification principale (qui est juridique) est « l’ensemble de lois » mais alors il y en a aussi quelques autres, comme « l’ensemble d'instructions en langage machine ou symbolique constituant un programme » ou bien « la langue, considérée comme un système conventionnel de symboles et de règles de combinaison, commun à des interlocuteurs et grâce à laquelle le message peut être produit et interprété ». Deuxièmement, il existe également un autre sous-groupe - les termes à l’appartenance principale à la LC. Le texte en question contient plus d'exemples de ce phénomène que de l’appartenance juridique principale. L’un d’eux peut être le nom du type de document lui-même, c’est-à-dire un « avis ». Outre la définition de la LC suivante : « ce que quelqu'un pense sur quelque chose ou sur quelqu'un », ce terme a plusieurs significations juridiques, telles que : « résultat de consultations facultatives ou obligatoires demandées à des organes divers » ou « délibération de certains organismes très importants, obligatoire dans certains cas ».

Dans les pages de cette dissertation, le terme « polysémie » a déjà été mentionné à plusieurs reprises, mais il n'a pas encore été précisé. Selon le dictionnaire de Larousse, c’est une « propriété d’un terme qui présente plusieurs sens ». Grâce à cela, les textes juridiques adaptant la signification d’un mot adéquat au contexte restent complètement compréhensibles à ceux qui connaissent cette dépendance. Cependant, souvent, cette multiplicité des sens peut être même plus trompeuse. À cause de la polysémie externe (« une forme possède des sens différents dans la langue commune par rapport au langage spécialisée ») les textes avec les mots apparemment familiers et par conséquent, apparemment compréhensible, ont une signification complètement

est mentionné dans la première ligne avec le nom complet et il est ensuite déterminé que son acronyme sera utilisé dans la partie suivante du document (« ci-après l’ARCEP »). Cela sert à la synthèse et concision du texte. En même temps, même si l’énonciateur utilise de nombreux sigles et rend le texte moins lisible pour les non-initiés, il veille également à ce qu’ils soient décryptés lors de sa première utilisation, dans la plupart des cas. Donc, outre l'ARCEP dans la première ligne, il apparaît aussi : le CPCE - « code des postes et des communications électroniques » (ligne 6) et le TNRBF - « tableau national de répartition des bandes de fréquences » (ligne 14). Il existe également deux sigles sans description dans le texte : UE - « Union Européenne » (ligne 2) qui est un acronyme tellement connu et omniprésente dans le monde de tous les jours, aussi parmi les profanes, qu’il n’a pas besoin d’explication selon l’énonciateur et UIT-R « Le Secteur des radiocommunications de l'UIT » (ligne 19) ce qui ne fait que confirmer la théorie, selon laquelle ce document s'adresse à des experts connaissant ce sigle et sachant ce que fait cette organisation.

Après avoir examiné le langage juridique du texte choisi, cela vaut la peine de passer à l’analyse textuelle. Tout d'abord, on va se concentrer sur les séquences prototypiques, c'est-à-dire comment le texte est organisé. Il s’agit des séquences prototypiques : narrative, argumentative, descriptive, explicative dialogale et instructionnelle, mais il est à noter que les textes homogènes, c’est-à-dire composés d'un seul type des séquences, sont très rares. Donc, le texte dont on traite ici est hétérogène à dominante séquentielle argumentative. Cela signifie que cette opinion se compose de plusieurs types de séquences différents, où cet argumentative est le principal, à l'intérieur duquel se trouve un mélange d'autres types de séquences. Comme déjà mentionné, la séquence primordiale et argumentative. Ceci peut être indiqué sur la base de sa structure. Bien que la thèse antérieure du texte soit plutôt implicite, on sait que « ... le Premier ministre a sollicité l’avis de l’ARCEP sur un projet de modification du tableau national de répartition des bandes de fréquences (TNRBF) ». Par conséquent, l'énonciateur, émettant ces avis, basé sur les données reçues et répond aux arguments avec ses contre-arguments favorables au projet. Fait intéressant, dans le cas de ce document, déjà au début du texte, on reçoit l’information sur l’avis positif. L’autorité donne un indice linguistique déjà à la 18 ligne en utilisant « accueille favorablement » (lignes 18, 35). En outre, cette séquence est également structurée avec les données ou prémisses (lignes 1-14), les inférences (lignes 15-40)

qui sont directement liées aux prémisses et, la plus facile à trouver, conclusion (lignes 41-44).

De plus, les séquences descriptives et les explicatives peuvent être distinguées comme les subordonnées à celle argumentative. Un exemple de séquence descriptive peut être des lignes 24-27. Cette partie du texte, en utilisant la procédure d’ancrage référentielle, décrit le but du projet d’arrêté prévoit par la note F55d du TNRBF qui attribut au profit de l’ARCEP les bandes. L’ancrage lui-même se trouve au début de la séquence (« Le projet d’arrêté prévoit par la note F55d du TNRBF... ») grâce à quoi on peut conclure que c’est le premier de trois types de l’ancrage - à proprement parler. Un autre exemple de séquence descriptive dans cet avis, ce sont les lignes 32-34. Du point de vue linguistique les deux exemples présentent des temps verbaux à valeur aspectuelle imperfective - dans les deux cas, le verbe principal "prévoir" a été utilisé au présent.

Aux lignes 20-23 et 27-29 peuvent être trouvés des exemples de la séquence explicative. Sa fonction est de faire comprendre et de diffuser le savoir aux destinataires du texte. Dans ce cas, il est expliqué dans quel but les modifications apportées par le projet sont introduites et quel impact auront après leur application. En ce qui concerne le point de vue linguistique le vocabulaire typiquement spécialisé de télécommunication et dénotatif a été utilise comme « réseaux mobiles 4G et 5G » (ligne 28) ou « trafic de données » (ligne 28,29). De plus, l’emploi des organisateurs textuels qui facilitent la compréhension du texte. Dans la ligne 20 « en effet » a été utilisé, qui est un organisateur textuel d’explication ou de justification et qui assure l’enchaînement logique de la phrase.

Le temps est venu de traiter les axes de l'analyse micro-textuelle. Il y en a trois : la cohérence, la cohésion et la pertinence aux conditions énonciatives. La cohérence et la cohésion sont deux composantes complémentaires d'un même ensemble. Cela signifie que pour conserver l’intégrité du texte, il ne faut en omettre aucun.

La structure globale du texte est due à la cohérence. C’est l’effet de combiner tous les sens d’un message avec la connaissance du monde du destinataire. Lorsque la base de connaissances de l’énonciateur et du destinataire se coïncident, une cohérence

introduire plusieurs significations dans un même texte. L’anaphore nominale infidèle pourrait lui déroger.

Une autre règle nécessaire pour qu’un texte soit cohérent est la progression qui est assurée par la cohésion thématique. C'est un facteur d'équilibre pour la cohésion syntaxique où certaines informations doivent être répétées, mais de nouvelles doivent également être entrées pour conserver les progrès. Ceci est fait avec aide de thèmes (responsables de la répétition des informations déjà acquises) et de rhèmes (responsable de l'introduction de nouvelles informations). Dans le texte en question, les phrases sont longues, les virgules ne sont pas utilisées trop souvent. De plus, il arrive que les phrases qui se suivent ne soient pas liées les unes aux autres. Cela nécessite une connaissance spécialisée du sujet et le texte lui-même devient très difficile à suivre. Cela rend le texte presque dépourvu de modes de progression thématique. Les seuls modes qui peuvent être remarqués ici est la progression à thème linéaire et un cas de la progression à thème éclaté. Le premier est basé sur le fait que le rhème de la phrase antérieure devient le thème de la phrase qui suit. De cette manière, une relation a été créée entre les phrases, dans les lignes 12-14. Dans la phrase « ... le Premier ministre a sollicité l’avis de l’ARCEP sur un projet de modification du tableau national de répartition des bandes de fréquences (TNRBF) » (ligne 12,13), le « le Premier ministre » peut être considéré le thème et la nouvelle information acquise dans cette phrase - le rhème - est : « a sollicité l’avis de l’ARCEP sur un projet de modification du tableau national de répartition des bandes de fréquences (TNRBF) ». Dans la phrase suivante (dans la ligne 15), « L’avis de l’ARCEP sur le projet de modification du TNRBF... » qui était précédemment le rhème, devient le thème d'une nouvelle phrase. En même temps, le reste de la deuxième phrase « ... porte sur les points suivants : » devient le nouveau rhème. Cela signifie qu’on traite ici la progression à thème linéaire. Un autre exemple du même mode de progression thématique se trouve vers la fin du document. Dans les lignes 42,43 se trouve une phrase avec le thème 1 « L’Autorité » et avec le rhème 1 « émet un avis favorable sur le présent projet de modification du tableau national de répartition des bandes de fréquences ». Dans la ligne 44, le rhème 1 « avis » devient le thème 2 « Le présent avis » mais après le mode est changé en progression à thème éclaté où on trouve deux rhèmes différents (rhème 2 - « sera transmis au Premier ministre », rhème 3 - « sera publié au Journal officiel de la République française »).

En ce qui concerne la cohésion sémantique, elle est garantie grâce à l’isotopie. Elle implique la présence d’un même sème dans plusieurs termes d’un texte, ce qui permet de les relier entre eux. Elle peut regrouper plusieurs champs lexicaux et organise ainsi des réseaux sémantiques qui fondent la cohérence d’un texte. Dans le cas du texte en question ceux champs lexicaux sont le droit (« décision », « code », « avis », « arrêté ») et la télécommunication (« bandes de fréquences », « réseaux mobiles », « services de communications électroniques »).

À l’égard de la cohésion logique, elle fournit une connexion logique de l'ensemble du texte, grâce à l'utilisation de connecteurs logiques et révèle également comment énonciateur a voulu guider les destinataires à travers son raisonnement contenu dans le texte. Les connecteurs organisent le texte et créent ses structures hiérarchiques. Il existe deux classes de connecteurs. Ce sont les connecteurs qui ordonnent la réalité référentielle et les connecteurs qui marquent les articulations du raisonnement. En ce qui concerne le premier, on distingue les connecteurs temporels qui sont employés pour marquer une succession chronologique et les connecteurs spatiaux décrivant les localisations. Concernant les connecteurs temporels, il n'y en a pas beaucoup dans ce document. La seule chose qu’on peut trouver est « après » dans la ligne 11. En ce qui concerne les connecteurs spatiaux, sauf quelques instances de « sur » et « dans » On ne peut plus trouver d'autres exemples dans le texte en question.

De plus, les connecteurs qui marquent les articulations du raisonnement ne sont pas aussi tellement nombreux. Il n'y a que quelques cas du connecteur additif « et » (ligne

  1. qui, de la manière la plus simple, assure la suite des autres parties de la phrase. D'ailleurs, il n'y a que deux cas de connecteurs argumentatifs d’explication (« notamment » dans la ligne 6 et « en effet » dans la ligne 20). Cette classe est le fondement des textes juridiques, où l'interprétation du droit et l'expression d'opinions sur d'autres textes juridiques constitue la base de l'existence de ce domaine spécialisé. Elle est basée sur l'explication de problèmes complexes et la présentation de détails.

Passons au dernier aspect de cette dissertation - l’organisation énonciative du discours. Premièrement, il faut déterminer que le texte en question est réglé par l’absence de l’énonciateur direct. Les pronoms personnels de la première et deuxième

remarque particulièrement lorsque l’énonciateur cite le contenu de la loi ou de l’article sur lequel il a fondé son opinion. C’est le cas, par exemple, dans les lignes 24-27 ou 32-34. Par conséquent, il n’est pas possible de spécifier exactement une seule « voix » dans une situation énonciative. En continuant, en raison de l'absence d'éléments du style direct, on ne peut pas non plus compter sur des exemples des formes hybrides. La modalisation autonymique est aussi absente.

En résumé, l’opinion de l’autorité de régulation des communications électroniques et des postes sur le projet d’arrêté relatif au tableau national de répartition des bandes de fréquences est un texte typiquement juridique qui appartient au genre de l’avis et dans lequel le langage de la loi a été utilisé. Son niveau de communication appartient au traitement spécialisé avec le sous-niveau de la formulation. Lors de l'élaboration de ce document, on a rencontré de nombreux exemples de polysémie interne et externe. En ce qui concerne les séquences prototypiques, le texte s'est avéré être hétérogène à dominante séquentielle argumentative avec les sous-séquences descriptives et explicatives. La cohérence et la cohésion, on doit principalement aux anaphores conceptuelles et la progression à thème linéaire et la polyphonie avec le style indirect a prouve que plusieurs voix peuvent être entendues simultanément dans l’énoncé même si ce n’est pas toujours évident, comme dans le cas du texte en question.