Devoir 1 ES CNED Terminale, Exercises of Environmental science

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Références du devoir

Matière : Enseignement scientifique

Code de la matière : [7-SG06]

N° du devoir : 1

(tel qu’il figure dans le fascicule devoirs) Pour les devoirs de langues étrangères , cochez obligatoirement ☐ LVA, ☐ LVB ou ☐ LVC

Vos coordonnées

Indicatif : 3023034335

Nom : Silverman

Prénom : Ariana

Ville de résidence : Leudelange

Pays (si vous ne résidez pas en France) : Luxembourg

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Nom du professeur correcteur :

Note :

Observations générales du correcteur :

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Exercice 1 :

Infections à pneumocoques : antibiotiques, vaccins et résistance

Question 1 :

La résistance aux antibiotiques est soit naturelle soit acquise. Par résistance naturelle on entend les bactéries qui ne sont pas sensibles à l'action d’un antibiotique spécifique. On parle de résistance acquise lorsqu’une ou plusieurs souches d’une espèce bactérienne naturellement sensible à un antibiotique y deviennent résistantes. La résistance acquise provient des mutations génétiques d’une bactérie. Parmi ces mutations, certaines entraînent une résistance aux antibiotiques. Le terme antibiorésistance est le phénomène qui consiste pour une bactérie à devenir résistante aux antibiotiques. En effet, la mutation du gène du virus modifie la molécule antigénique que reconnaît le système immunitaire. Dans ce cas de non-reconnaissance du virus, le système immunitaire ne va pas attaquer le virus mutant qui peut donc se multiplier en paix. L’utilisation systématique et excessive des antibiotiques depuis des décennies peut augmenter la fréquence des formes résistantes par sélection naturelle. Les bactéries exposées aux antibiotiques évoluent et développent des mécanismes de défense qui leur permettent d’échapper à leur action. En se multipliant, la bactérie va transmettre sa résistance aux antibiotiques à sa descendance.

Question 2 :

On peut observer dans le graphique du document 3 qu’entre les années 1996-2000, le nombre d’infections à pneumocoques dans les cas dûs à des bactéries sensibles chez les enfants de moins de 2 ans étaient entre 100 et 140 malades pour 100.000 individus et entre 40 et 80 malades pour 100.000 individus dans les cas dûs à des bactéries résistantes. En l’année 2000, date de l’introduction du vaccin, on observe que dans les deux types de bactéries (sensibles et résistantes) le nombre d’enfants de moins de 2 ans malades aux infections à pneumocoques diminue drastiquement. Par exemple, en 2001, le nombre d’enfants de moins de 2 ans malades était de 40 pour 100000 individus pour les bactéries sensibles et de 20 malades sur 100000 individus pour les bactéries résistantes. En revanche, entre 2002 et 2003, le nombre de malades a augmenté dans les deux cas. Le graphique du document 4 nous permet d’observer l'évolution du nombre de malades entre les années 1996 et 2004 par tranche d’âge (2 ans et plus) pour les pathologies à pneumocoques résistants. Pour les personnes âgées de 65 ans et plus, l’introduction du vaccin a permis une diminution importante du nombre de malades, passant de moins de 14 malades en 2000 à moins de 8 pour 100000 individus en 2004. En parallèle, pour les enfants entre 2-4 ans, bien que les vaccins aient fait diminuer le nombre de malades, on observe qu’à partir de 2002 le nombre de malades augmente pour arriver à moins de 4 malades pour 100000 individus en 2004. Pour les autres tranches d’âges (5- 19 ans, 20-39 ans et 40-64 ans), la vaccination n’a pas vraiment d’impact sur le nombre de malades. Comme il est montré dans le document 1, l’incidence des bactériémies à pneumocoques n’est pas très significative pour ces âges en France entre 1998-2002.

Question 3 :

La pénicilline qui a été découverte par Fleming en 1928 a pendant longtemps été l’antibiotique majeur utilisé pour lutter contre les infections à pneumocoque.

Modèle de copie Word N= (M x C) / R L'intérêt d'utiliser ce calcul est que nous pouvons estimer N avec la technique CMR (capture, marquage recapture) afin de connaître le nombre d'individus dans une population fermée.

Question 2 :

En utilisant la formule CMR, nous estimons qu’en 2011, la population de baleines à fanons peut être estimée à 35 baleines environ. calcul: N= (M x C)/R - > N= (22 x 30)/19 = 35 baleines En utilisant la formule CMR, nous estimons qu’en 2013, la population de baleines à fanons peut être estimée à 37 baleines environ. calcul: N= (M x C)/R - > N= (28 x 32)/24 = 37 baleines Nous pouvons noter une augmentation de la population de baleines à fanons de 2 baleines. Il y a eu donc de beaux petits bébés baleines qui sont nés, augmentant ainsi la population de baleines à fanons.

Question 3 :

Question 4 :

En utilisant la formule CMR, nous estimons qu’en 2012, la population de baleines à fanons peut être estimée à 35 baleines environ. calcul: N= (M x C)/R - > N= (30 x 28)/24 = 35 baleines En 2012, la population de baleines à fanons dans le golfe de Siam est estimée à 35 individus. Or, en 2013, le golfe de Siam compte une population de baleines à fanons estimée à 37 individus. Ainsi, on peut considérer qu’il y a eu une augmentation de la population du cétacé; une augmentation de 2 baleines entre 2012 et 2013.